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Il complesso in esame è situato nei pressi di Taggia, nella zona di Capo Don: il rinvenimento, a metà del XIX sec. d.C., di numerosi reperti d'epoca romana, consentì di attribuire la zona su cui sorge il contesto di Riva Ligure alla mansio di Costa Balenae, attestata dalla Tabula Peutingeriana. La storia degli scavi presso il sito inizia, come spesso accade in Liguria, con Nino Lamboglia, nel 1937, che riportò alla luce una vasca battesimale, un sarcofago in pietra del Finale e livelli databili tra III e IV sec. d.C. Le indagini archeologiche ripresero negli anni Ottanta del secolo scorso (1982-1987) e di nuovo dal 1994: esse hanno consentito di mettere in luce parte di una grande chiesa a tre navate con nartece tripartito, al cui centro si colloca la vasca battesimale di cui sopra. Sfortunatamente l'ampliamento della moderna Via Aurelia nel corso dell' Ottocento ha asportato circa metà dell'edificio di culto, il che però non ha impedito di rimettere parzialmente in luce la cosiddetta "chiesa ridotta", edificio cultuale di minori dimensioni (databile all'epoca medievale) ricavato nella navata centrale della chiesa più antica. La ripresa dello scavo del fonte battesimale, già parzialmente indagato dal Lamboglia, ha consentito di evidenziare come esso sia costituto da pregiati marmi romani di reimpiego che determinano un motivo a croce greca, inscritto in un perimetro delimitato all'esterno da otto nicchie semicircolari. La chiesa più grande, nella sua conformazione sopra descritta, e la vasca battesimale sono tutte ascrivibili alla medesima fase, paleocristiana (V secolo d. C. ?), mentre interventi successivi, di carattere funerario (nel nartece infatti vengono inserite sepolture in sarcofagi), si collocano tra il VI ed il VII sec. d.C. Considerando questi elementi cronologici, dunque,si può interpretare il complesso di culto in esame come un polo che agli inizi del VI sec. d.C. probabilmente scolgeva un ruolo di pre-parrocchia rurale, con funzione di cura d'anime. L'ensemble examiné ici se trouve près de Taggia, dans la zone de Capo Don : la découverte, moitié XIX° siècle, de nombreux vestiges d'époque romaine, a permis d'attribuer la zone où ce dresse le contexte de Riva Ligure à la mansio de Costa Balenae, attestée par la Tabula Peutingeriana. L'histoire des fouilles dans le site commence, comme souvent en Ligurie, avec Nino Lamboglia en 1937 ; il a découvert un bassin baptismal, un sarcophage en pierre de la région de Finale et des niveaux datables des III° - IV° siècles apr. J.-C. Les recherches archéologiques ont repris dans les années 80 du XX° siècle (1982-1987) puis de nouveau en 1994: elles ont permis de découvrir une partie d'une grande église à trois nefs avec narthex tripartite, au centre duquel était placée le bassin baptismal cité plus haut. L'agrandissement de l'actuelle Via Aurelia au cours du XIX° siècle a, malheureusement empêché aux chercheurs de ramener à la lumière la moitié environ de l'"église réduite", édifice de culte de moindre dimension (datable du Moyen-âge) aménagée dans la nef centrale de l'église plus ancienne. La reprise des fouilles des fonts baptismaux, déjà en partie fouillés par Lamboglia, a permis de mettre en évidence sa facture en précieux marbres romains réutilisés qui crée un motif en forme de croix grecque, inscrite à l'intérieur d'un périmètre délimité à l'extérieur par huit niches semi-circulaires. L'église la plus grande, dont la conformation a été décrite plus haut, et le bassin baptismal sont attribuables à la même phase, paléochrétienne (V° siècle ?), tandis que des remaniements successifs, de caractère funéraire (dans le narthex sont ajoutés des sarcophages servant de sépultures) ont lieu entre les VI° et VII° siècles. En tenant compte de ces éléments chronologiques, on peut interpréter le complexe cultuel examiné comme un pôle qui avait probablement fonction, au début du VI° siècle, de pré-paroisse rurale, ayant charge d'âmes.

Riva Ligure

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